Le programme santé des candidats à l’élection présidentielle
Par
Guillaume Varinot, Dr François-André Allaert, Joris Fournel et Antonin Tabard le 4 avril 2017
A quelques jours de l’élection présidentielle, nous avons rencontré les représentants des différents candidats pour aborder la thématique santé des programmes. Des mesures phares au financement de l’assurance maladie, nous vous exposons dans ce nouveau numéro des clés de compréhension et peut être de choix, avant de vous rendre aux urnes.
le douaron le 4 avril 2017 à 18:39
bonjour,
très bons propos, sauf qu’à Dijon, nous voyons en direct ce qui se passe niveau santé par les conséquences des réductions de lits, de personnel etc…diligentées par les gouvernements successifs depuis déjà un bon moment. alors, croire en ces beaux discours surtout en constatant que certain candidats qui ont été au pouvoir promettent tout en ayant rien fait pendant qu’ils étaient aux commandes savoir : restrictions budgétaires pour l’hôpital public d’année en année. ce au profit du capital privé cependant dotés de fonds publics (voir l’hôpital privé en construction à Dijon Valmy) pendant ce temps, les urgences pleurent les places dans les services. de plus, nous avons entendu hier 3042017 madame la directrice du chu bocage (je ne dirai jamais F M) car il fait parti des présidents qui ont coulé le service public donc donner son nom au chu n’est que despotisme du président d’honneur du chu pour ne pas le cité maire de dijon. donc cette dame a dit tout le bien qu’elle pensait des sercies hospitalier de dijon sans dire qu’elle fait partie des fossoyeurs nommés par les gouvernements sans dire qu’actuellement, l’accès aux urgences (depuis quelques mois) est désastreux (voir bp de ce jour 4042017. alors, votre conclusions est très bonne et juste , ALLONS VOTER, ne nous abstenons pas, mais votons nul ou blanc car, n’attendons rien d’aucun candidat actuel car qui gouverne ? ça n’est pas les gouvernements se sont les propriétaires de capitaux (cac 40) et autres riches qui s’enrichissent sans vergogne alors que le peuple dégraisse en pouvoir d’achat, de part le chômage qui engendre l’insécurité sur laquelle se repose deux ou trois candidats qui souhaite en profiter.