Le dictat des messages de Santé Publique
Par
Christian Guillermet le 4 août 2014
Sur le moment, et le moment est long, ces messages m’agacent. Mais je me dis : peut-être qu’à force d’être répétés, ils me font de l’effet, sans que je le sache. Peut-être…
YVRAY le 14 août 2014 à 15:14
Effectivement, chacun est libre de faire ce que bon lui semble, mais, il devrait être obligatoire d’assumer les risques pris.
Pourquoi faire payer aux autres les traitements du cancer lié au tabac ?
Beaucoup de maladies surviennent accidentellement et ne sont pas bien prise en charge faute de moyens.
Liberté, oui, mais pas au détriment des autres et en particulier celui de la famille qui sera la première victime de la légèreté du parent
le douaron le 4 septembre 2014 à 14:56
Sujet redondant que ce sujet. dans le temps, l’état donnait des cigarettes aux « troufions » l’alimentation passait par le saindoux et autre lards gras pour conserver. le rouge qui tâche était la boisson de l’ouvrier, la goutte était la boisson de l’agriculteur. la panade, les gaudes, les frittes etc….mais une vie moins stressante et plus fluide car nos anciens prenaient le temps de vivre mais de mourir aussi car l’espérance de vie était moins avancée dans l’âge. aujourd’hui moins de gras, moins de sel, moins de sucre, moins d’alcool mais aussi moins de sports et plus de pressions (pas la bière) donc plus de stresse moins de temps à cuisiner donc plus de conservateur, plus de saleté dans les plats préparés. niveau nourriture une dame le dit bien dans le reportage ‘tu b… tu B…pas tu c…. quand même’ quant à motiver les jeunes, un remède premier serait à revenir au plein emploi comme pour notre génération, ils auraient ainsi moins de temps à trainer, boire et s’empiffrer de « graille » et de « mal bouffe » quant à ceux qui fume, comme la jeune dans le reportage qui veut faire ce qu’elle veut, et bien oui qu’elle fume et si elle attrape une maladie liée à la fumée, soins sans remboursement. Je rejoint ainsi la réflexion ci dessus du 14 08 204. c’est un sujet inépuisable que celui là comme tant d’autre d’ailleurs alors à bientôt